samedi 19 septembre 2015

Immigration musulmane ingérable


La question qui se pose à l'Occident est: comment gérer l'arrivée massive de réfugiés musulmans, dont la plupart, comme le montrent photos et vidéos, se comportent comme des sauvages et n'ont de réfugiés que le nom. 

Il a été établi que 75% d'entre eux sont des hommes. Parmi eux, combien ne sont pas les victimes innocentes qu'ils prétendent être, mais des djihadistes, ou même des criminels de guerre? 

Johannes Hahn, Commissaire européen à l'élargissement et à la politique européenne de voisinage, a déclaré: 
"Il ya 20 millions de réfugiés qui attendent à la porte de l'Europe [...] Dix à douze millions de Syriens, 5 millions de Palestiniens, 2 millions d'Ukrainiens et environ 1 million du Sud-Caucase ". Donc, sur les 20 millions, 18 millions seraient des musulmans.

Les bien-pensants prétendent que l'Europe n'en fait pas assez pour les réfugiés musulmans et qu'elle devrait ouvrir ses portes. Cette suggestion pourrait bien être suicidaire et mettre fin aux valeurs universelles et à l'humanisme qui inspirent encore l'Europe aujourd'hui. C'est aussi de leur part le signe d'une méconnaissance totale de ce qu'est l'islam, de ce qu'il représente et de ce que sont ses véritables objectifs. Avec l'islam, on n'a pas affaire à une migration "classique", mais à la continuation, 14 siècles après, de la tradition guerrière héritée de Mahomet, le modèle parfait des les musulmans.

La violence est la seconde nature des musulmans, un héritage lourd à porter mais qu'ils portent volontiers, puisqu'il leur vient de leur prophète. Pas besoin de refaire la biographie de Mahomet, juste rappeler le principal:

Après la Hijra de Mahomet et son installation à Médine, l'islam a pris sa forme "définitive" de force religieuse, politique et militaire. C'est à partir de 622 que Mahomet a légalisé le viol et l'esclavage sexuel, la conquête de territoires par la razzia, les conversions forcées, la violence envers les non-musulmans quels qu'ils soient, l'intimidation, l'homophobie, la haine des juifs et des chrétiens. C'est à partir de cette date qu'il a également défini les comportements des musulmans envers les autres, qui sont considérés inférieurs aux "Croyants". Ces "autres", sans distinction, que le bon musulman devra "subjuguer", terroriser, assujettir et convertir. Ou tuer, s'ils refusent la conversion. 


Mahomet n'a malheureusement pas laissé derrière lui le moindre message de paix, d'humanisme ou de respect d'autrui, sauf entre membres de la Oumma.

Les menaces aussi, font partie de cet héritage, qu'elles soient directes ou insidieuses. Exemple: Erdogan avait dit et répété, à propos des tergiversations européennes concernant l'adhésion de la Turquie à l'UE, que "si l'UE refuse, il y aura beaucoup d'actes terroristes sur son territoire". Le même type de menace a été proféré récemment: la reine Rania de Jordanie menace l'Occident a déclaré ce 16 septembre que "si les Nations européennes refusent de prendre davantage de réfugiés, l'Occident devra faire face à l'avenir aux idées extrémistes". Message reçu par Merkel, qui lui a attribué une haute distinction allemande: le Prix Walther Rathenau, qui récompense la "promotion de la paix et de la compréhension entre les peuples", vous êtes priés de ne pas rire. Un message bien dans la tradition islamique.

Comme l'islam n'a pas de représentation hiérarchique à qui on pourrait s'adresser pour clarifier une situation donnée ou pour donner une interprétation des textes qui soit nette et non discutable, l'islam se retrouvera disculpé de toutes les fautes et tous les crimes que ses représentants pourraient commettre. On continuera toujours à dire qu'il ne faut pas faire d'amalgames, que si des musulmans sunnites font la guerre à l'Occident comme au reste de l'humanité (aux chiites, aux Israéliens, aux bouddhistes, aux animistes, etc), "ce n'est pas ça, l'islam".

Pourtant, depuis cette date de 622, les musulmans ont reproduit (on pourrait dire "fidèlement") tous les enseignements que leur a laissé Mahomet. Ce qui a commencé peu de temps après sa mort, quand le clan d'Aïcha, une de ses épouses, est entré en guerre contre Ali, gendre de Mahomet ("première fitna") .

La violence a continué durant 14 siècles, y compris pendant l'époque improprement dénommée "l'âge d'or de l'islam". Parmi les guerres et conflits entre musulmans, on peut citer la "deuxième fitna", juste après la mort du premier calife omeyyade et la "troisième fitna", luttes internes des Omeyyades, provoquant leur chute et l'avènement des Abbassides. 

Mais, généralement, la violence musulmane s'exerce surtout contre les non-musulmans. Deux versets du coran (8:39 et 2:193) appellent les musulmans à ne pas avoir de répit tant que l'humanité n'aura pas été convertie ("Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'association et que la religion soit entièrement à Allah"). Le déferlement des troupes musulmanes sur trois continents a laissé des marques trop méconnues et qui ne sont malheureusement pas enseignées, comme le massacre du Hindi Kouch qui a laissé 80 millions de cadavres hindous et comme les 120 millions d'hommes, de femmes et d'enfants d'Afrique du Nord et d'Afrique Noire tués, vendus comme esclaves aux Européens ou emmenés comme esclaves ou eunuques en Asie, du côté de Bagdad ou de Damas. Déjà, ces deux villes...

Ce qui se passe aujourd'hui n'est donc que la suite logique de ce qu'a fait Mahomet durant sa "prophétie". Parce que les musulmans sont obéissants. Le coran et les autres écrits islamiques leur demandent de suivre tous ses enseignements à la lettre. Et comme le principal de ces écrits les incite au djihad et à la guerre contre toutes les autres religions, à la répression, aux pratiques violentes et à une justice expéditive (voir le sort réservés par l'État islamique aux prétendus homosexuels, jetés du haut des immeubles sans jugement), tous ces agissements inhumains se sont banalisés et sont même devenus des actes glorieux qui ouvrent les portes du paradis d'Allah. Comme la pédophilie et le viol des femmes et fillettes prisonnières de guerre. Ce que font les sauvages de l'État islamique n'est donc que la continuité de ce qu'avait fait Mahomet avant eux.
Les émirs de l'État islamique ne font qu'imiter Mahomet

C'est ce que les réfugiés fuient aujourd'hui. Mais c'est pourtant ce qu'ils vont finir par reproduire tôt ou tard, une fois bien installés en Occident et que le statut leur sera accordé. Il suffit de voir ce que sont devenus les Algériens qui ont fui la "décennie noire" et la guerre civile des années 1991 à 2002 et qui, aujourd'hui, forment le gros des troupes d’Allah dans les no-go-zones des banlieues.

Car quiconque connaît l'histoire de l'islam sait que la violence et l'intolérance sont devenues ataviques au monde musulman et que les adeptes de Mahomet ne peuvent coexister pacifiquement avec aucun autre groupe humain, sauf en cas de nécessité absolue, comme le fait d'être minoritaire. 

L'histoire du monde musulman le confirme: les musulmans ne connaissent que deux formes de gouvernement, qui sont soit la dictature oppressive, qu'elle soit militaire, clanique ou familiale, soit la charia pure. Dans les deux cas, les principes universels de démocratie, de non-discrimination et d'égalité sont non seulement inconnus, mais contraires à ces deux principes. Les autres principes essentiels au vivre-ensemble comme la laïcité et les libertés religieuse, de parole, de pensée, etc, sont systématiquement combattus dans le monde musulman. Y compris dans les États qui se prétendaient laïcs comme la Tunisie et la Turquie. Ou dans les modèles "progressistes" baathistes d'Hafez el-Assad et de Saddam Hussein.

La dernière manifestation de la tradition de violence musulmane avant l'arrivée de l'État islamique a eu lieu lors de ce qu'on a trop rapidement qualifié de "printemps arabe". On a assisté à chaque fois au renversement des dictatures au seul profit de la charia: l'oppression militaro-clanique a passé le pouvoir à l'islam le plus pur, le plus dur, l'islam véritable, l'islam du retour aux sources, avec son lot inévitable de morts, de barbarie et d'atrocités de toutes sortes.  A ce propos, il faut savoir que, même si l'islam arrivait à faire sa réforme comme l'a fait le christianisme, on ne sera jamais à l'abri d'un retour en arrière, puisque le coran ne peut en aucun cas être réformé: les musulmans le considèrent comme un texte sacré et la transcription des paroles d'Allah, il ne peut donc subir aucune altération. Pour moi, la seule solution pour rendre le monde plus sûr est de criminaliser l'islam et de l'interdire, comme on a fait pour le nazisme.

Est-il besoin de le rappeler? Les réfugiés musulmans ont tout en commun avec ceux qui sont la cause de leur fuite: la langue, la culture et la religion. Il faut être naïf et idiot comme la majorité des Européens pour croire que ceux qui sont sur le point de coloniser l'Europe [1] vont finir par s'intégrer et adopter les coutumes et le mode de vie occidental, comme l'ont fait des générations de migrants auparavant. Il faut être naïf au point de brouter de l'herbe pour croire que ces migrants sont différents de ceux qui sont mus par la haine, qui égorgent, violent et font du commerce de chair humaine en Irak et en Syrie, mais pas seulement dans ces deux pays [2]Il faut être désespérément crédule pour croire qu'on pourrait par exemple, comme le suggèrent certains, faire signer une sorte de pacte aux musulmans par lequel ils renonceraient à la charia. La charia fait partie d'eux, de leur dogme, ils l'ont ancrée dans leurs entrailles. S'ils acceptent ce pacte, ce ne sera jamais que par taquiyya. Leur faire signer un tel pacte ne les dissuaderait en aucun cas de venir en Europe.

Même à l'intérieur de l'Europe, ces réfugiés semblent avoir une idée très précise de leur destination finale. En effet, ils ne se massent pas en nombre aux portes de la Bosnie, où leurs coreligionnaires représentent 45 % de la population. Ni au Kosovo, à 96% musulman, ni en Albanie, dont la religion principale est l'islam. Ce qu'ils semblent rechercher, ce sont d'une part, la protection sociale que certains pays comme l'Allemagne et la Suède distribuent avec largesses, mais surtout, le but inavoué est d'occuper le territoire des kouffars, d'en prendre possession au nom d'Allah. C'est la seule explication plausible. 

Le but final est la conquête. Sinon, pourquoi chercher coûte que coûte à entrer dans un pays de kouffars qui ne convient pas à un musulman, pour ensuite y refuser la nourriture qu'on distribue sous prétexte qu'elle n'est pas halal ou bien parce que sur l'emballage figure l'insigne de la Croix Rouge, alors qu'on pourrait très bien migrer dans un des nombreux pays musulmans où ils seraient certains de prier dans une mosquée et d'avoir la nourriture qui convient? Il aurait été beaucoup plus logique d'aller vers les pays comme l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, l'Ouzbékistan, le Tadjikistan et le Turkménistan, qui sont très majoritairement musulmans et sont bien plus proche de la Syrie, de l'Irak et de l'Afghanistan que les pays d'Europe de l'Ouest. On n'a pas vu non plus d'afflux de réfugiés aller vers les six très riches émirats du Conseil de Coopération du Golfe, pourtant à deux pas des territoires en guerre: l'Arabie saoudite et le Koweït ont une frontière commune avec l'Irak, et la Syrie n'est séparée de Saoudi que par une bande de terre jordanienne d'une centaine de kilomètres. Pas besoin de passeur, pas besoin de risquer sa vie et celle de sa famille dans un voyage hasardeux au gré des vagues, sur un vieux rafiot.

Même si on connait très bien la position des émirs du Golfe, ils n'auraient pas pu se dédouaner de leurs obligations humanitaires, morales et religieuses à la face du monde s'ils étaient mis devant le fait accompli. On sait très bien que ces gens sont les êtres les plus racistes du monde [3]. Mais leur refus de prendre des réfugiés ne date pas d'aujourd'hui: depuis des décennies, les Saoudiens ont toujours accepté les réfugiés Palestiniens au compte-gouttes, n'accordant le droit d'entrée qu'à un petit nombre de "privilégiés" qui seront traités comme des esclaves modernes. Ils leur ont toujours refusé la citoyenneté et les droits civils, tout en déclarant qu'ils sont Arabes comme eux. Et tout en rejetant la faute du malheur de "leurs frères" palestiniens sur la seule démocratie de la région, Israël.

Mais voilà: les réfugiés, musulmans à 97%, préfèrent risquer leur vie en allant en Occident, cet Occident que la très grande majorité d'entre eux considère comme le mal absolu, "le Grand Satan", plutôt que d'aller chez leurs "frères en religion". Leur présence en Europe est aussi une manière de répondre aux obligations coraniques de djihad et de conquête, car toute la Terre est territoire "waqf", territoire légué par Allah à tous les musulmans, "jusqu'au Jugement dernier".

Conquête: car le monde appartient à Allah et à ses adeptes. C'est la perception qu'en ont les musulmans. Ils sont chez eux au moment-même où ils posent le pieds quelque part, c'est ce qui explique que la terre d'Israël, juive depuis au moins 3 millénaires, fait partie des revendications islamiques depuis que les musulmans ont conquis Jérusalem en l'an 637. C'est ce qui explique aussi la demande totalement aberrante de certains musulmans de leur restituer al-Andalous, c'est-à-dire l'Espagne. 

Conquête: il y a d'ailleurs des signes qui ne trompent pas, sauf les naïfs tenants du multiculturalisme: la très généreuse Arabie saoudite a offert son aide financière à Merkel pour la construction de 200 mosquées en Allemagne. L’urgence du moment est de construire 200 casernes pour les 800.000 soldats d’Allah stationnés en Germanistan. En attendant que les premiers enrichissements que ne manqueront pas d'apporter ces migrants ne se fassent sentir. 

L'Allemagne qui commence à ressentir les premiers bienfaits de l'enrichissement apporté par ces nouveaux arrivants: quatre Érythréens dont un homme et sa femme enceinte de 8 mois insultés et frappés à coups de bouteille en verre par des Algériens parce qu'ils portaient un crucifix à leur cou. Second enrichissement: épidémie de viols dans les camps de réfugiés où un nombre croissant de femmes et de jeunes filles sont violées, agressées sexuellement et forcées à se prostituer. Ce n'est que le début. 
En plus des 200 mosquées promises par les Saoudiens, il va falloir aussi construire pas mal de prisons, ce qui sera bénéfique pour le secteur Bâtiments-Travaux-Publics. 

Autre exemple d'enrichissement pour l'Allemagne: interdire l'Oktoberfest. Merkel aura intérêt à s'y préparer et prendre les devants: ils parait que ses très chers hôtes musulmans, au nombre de 75.000 rien qu'aux alentours de Munich, vont justement s'inviter à l'Oktoberfest dès cette année et organiser leurs festivités habituelles aux cris d'Allahu akbar: violence, menaces et sang. En signe de reconnaissance envers les champions du monde de l'accueil des réfugiés. Les Allemands devraient méditer ce proverbe kabyle:

"Fkas ad yecc y weqjun, yiwen wass a k-ykherecc" (Nourris le chien, un jour il te mordra). 

Peu importe pour les migrants, Muhadjirunes du XXI ème siècle, que l'Europe croule sous la dette et compte 32 millions de chômeurs et de pauvres [4], leur mission passe avant tout: étendre les territoires d'Allah. En outre, ils savent qu'ils seront certainement bien mieux traités en Occident que chez leurs coreligionnaires. Si les 100.000 tentes climatisées d'Arabie saoudite resteront vident jusqu'au prochain hadj, c'est aussi parce que les réfugiés savent qu'il n'y a rien à gagner chez les hypocrites et racistes saoudiens.

Les dirigeants de l'Europe de l'Ouest courent au-devant du suicide collectif en ne cherchant pas avant tout à protéger la sécurité de leurs citoyens, leurs libertés et leur identité. Au lieu de cela, ils se sont engagés dans une spirale infernale: c'est à celui qui prendra le plus de migrants chez lui, tant pis si c'est dans le chaos le plus total et dans l'improvisation extrême, sans se préoccuper des conséquences futures pourtant facilement prévisibles, même pour le dernier des crétins.  

Cette crise sera au moins révélatrice de l'échec lamentable de l'Union Européenne. 
Échec pour avoir imposé une immigration non voulue par les peuples et imposé également la novlangue du politiquement correct et de l'antiracisme servi à toutes les sauces, comme si l'islam était une race. 

Échec d'avoir imposé le multiculturalisme, qui a fonctionné et fonctionne toujours avec toutes les communautés qui existent dans le monde, hormis avec la Oumma Islamiyya. On ne peut pas forcer les gens à leur intégration ou à leur assimilation dans une société si c'est contraire à leurs convictions les plus profondes. 

Échec de s'être enfermé dans cette bulle idéologique qui consiste à faire croire que les valeurs universelles de liberté, d'égalité, de justice, de démocratie, de tolérance, de laïcité, d'amour du prochain, etc, peuvent être partagées par les adeptes de l'islam, dont l'idéologie est tout le contraire. 

Échec de penser qu'on peut impunément donner la liberté aux ennemis de la liberté: un jour ou l'autre, ça finira par se payer, et très cher. 

Européens de l'Ouest, il ne vous reste qu'une chose à faire: vous mettre à l'étude de la langue arabe. Car les Arabo-musulmans ne parlent et ne comprennent qu'une seule langue: l'arabe, la seule langue que parle et que comprend leur Allah pourtant "Omniscient", la seule langue reconnue par le coran. Nous autres, Imazighens, avons payé assez cher pour le savoir et ça dure depuis plus de 13 siècles: on a oublié nos racines, notre culture, le Christ, nos Dieux païens Gurzil, Yukuch, Warru et Anzar et on a même failli oublier jusqu'à notre langue maternelle, pour adopter Allah, le mahométanisme et son inculture.

Bientôt chez vous aussi...

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[1] Lire "Un grand imam: l'Europe veut les réfugiés, nous nous venons pour conqérir leurs pays"

[2] Les seuls réfugiés syriens qui ont retenu l'attention dans les pays du Golfe sont les filles mineures, vendues à de riches Arabes pour que ces vrais musulmans puissent perpétuer les actes de viol et de pédophilie de Mahomet, le "beau modèle".

[3] En réalité, c'est l'islam qui en a fait des racistes. Témoin ce haut dignitaire malaisien qui a fait cette déclaration qui n'étonne nullement quand on connaît le coran et l'islam: " Je suis raciste et mon racisme est basé sur le racisme de l'islam. Le racisme est permis par l'islam" (Désolé, encore un lien en anglais, mais c'est parce que la presse francophone a encore "oublié" de traiter le sujet. Pas assez politiquement correct).

[4] Le sentencieux journal "Le Monde" a trouvé la solution: encore plus d'immigration massive, car "L’immigration favorise l’emploi". 

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