mercredi 20 mai 2015

L’Occident et sa lâcheté face au défi imposé par l’islam (suite)

Suite (et fin provisoire) de l'article du 30 avril 2015

Les musulmans exploitent chaque reculade des Occidentaux pour enfoncer le coin. Afin de passer tout de suite après à l’étape suivante. L’islam agit ainsi à la manière d’un boa qui resserre ses anneaux à chaque expiration de sa proie, jusqu’à finir par l’étouffer complètement. La prochaine étape du processus pourrait être l’infiltration des systèmes éducatifs et la remise en cause de la mixité dans les écoles et dans les établissements sportifs. Vous pensez que c’est impossible parce qu’il y a des barrières et des filtres qui sont en place, qui empêchent qu’on touche à l’éducation des enfants pour la dévoyer ? Voyez ce qui se passe déjà dans certaines écoles de Grande-Bretagne :

- L’école publique Park View de Birmingham a fait installer des haut-parleurs pour les appels à la prière.
- Une autre école de Birmingham organise un "voyage d’étude [lire l'ajout du 15 juin 2014]" (réservé uniquement aux élèves et accompagnateurs musulmans) devinez où? A la Mecque, pour le pèlerinage annuel!
- Le personnel féminin non-musulman de l’école (subventionnée) Al-Madinah (c’est bien en Grande-Bretagne !) de Derby a été forcé de porter le voile islamique.
- Une école de garçons de Leicester interdit aux femmes de postuler pour un poste d’enseignant.
- L’école publique Charles Dickens de Portsmouth refuse de l’eau à un écolier de 10 ans pour "éviter de perturber les élèves musulmans qui font le ramadan".
Rien de plus naturel pour un gamin de dix ans que de faire le ramadan à l’école...

Aux Etats-Unis, le ver a déjà bien entamé le fruit, grâce à Hussein Obama, mais grâce aussi à une fondation qatarie et à des associations saoudiennes qui déversent leurs pétrodollars pour que les petits Américains se familiarisent avec l’islam, avant de l’adopter pour toujours :

- Dans le Colorado, les élèves font des visites organisées de mosquées, où l’on oblige les filles à porter un foulard.
- A Los Angeles, les élèves débattent si oui ou non l’holocauste était "simplement un arrangement politique créé pour influencer le public".
- A New York, les élèves participent au rituel d’allégeance, en arabe.
- A New York encore, des écoles publiques ferment pour les deux "jours saints musulmans".
- En Caroline du Nord, on enseigne le vocabulaire islamique.
- Dans le Tennessee, l’enseignement porte sur la "tolérance islamique" (sic).
- En Floride, on enseigne l’histoire du monde du point de vue islamique.
- Dans le Maryland, ce sont les cinq piliers de l’islam qui sont enseignés (les élèves du lycée La Plata High School ont été invités à écrire un essai de trois pages sur les cinq piliers de l'islam, détaillant les croyances et les pratiques de la religion et d'inclure des informations sur Mahomet et sur la Mecque)
.
- A Union Grove, Wisconsin, l'endoctrinement scolaire est en marche: un devoir écrit demande aux élèves de "faire semblant d'être musulmans"
- Tandis que dans le Massachusetts, c’est la profession de foi qui est récitée en classe, ainsi que l’appel à la prière.

Excusez du peu. Pourtant, la liste est loin d’être exhaustive. Tout cela, bien évidemment, aux frais du taxpayer.

Le point fort de l’islam n’est pas dans son espoir d’avoir un jour la supériorité numérique.
Il est dans la lâcheté de l’Occident qui accepte les revendications les plus sectaires, ce qui pousse les musulmans à toujours demander plus, jusqu’à l’exagération. Parce qu’ils savent que, tôt ou tard, ces revendications seront satisfaites car dans le cas contraire, on crierait encore au racisme et à l’intolérance. Les menus "halal" dans les écoles et l’égorgement rituel des animaux se sont imposés de cette manière. Tout comme le voile musulman. Le voile est bien plus que ce drap mortuaire qui enveloppe entièrement les femmes, il est le produit de l’antiféminisme primaire de Mahomet et le symbole de la double soumission : soumission au mari (ou au père, ou frère, ou à n’importe quel pisseux mâle de la famille, même âgé seulement de quelques années) et de la soumission à Allah. Dans le monde dit "civilisé", il est inadmissible que l’on accepte cette prison ambulante pour femmes.

Les différentes "affaires" de caricatures sont symptomatiques des concessions faites à l’islam par l’Occident : aujourd’hui, les journalistes préfèrent s’autocensurer pour ne pas provoquer les réactions violentes des musulmans. Ce que les musulmans interprètent à juste titre comme une énième victoire. Peur irraisonnée et stupide, réaction lâche et infantile, car ce n’est pas en cédant au chantage qu’on élimine le problème. C’est ce qu’on a constaté par exemple avec le dessin de couverture de Charlie Hebdo paru juste après l’attentat meurtrier contre le journal : on voit un Mahomet plutôt bon-enfant brandir lui aussi la pancarte "Je suis Charlie", avec ce commentaire : "Tout est pardonné" ! Dans ces conditions, désolé, mais je ne suis pas du tout Charlie !

La loi du politiquement correct a été imposée à tous par une classe d’irresponsables, tant politiques que médiatiques. Ils préparent, consciemment ou non, le délitement de la civilisation occidentale. L’islam en profite pour s’ouvrir des boulevards, pour s’imposer et imposer sa doctrine. Continuer de faire des demandes abusives, auxquelles l’Occident répondra par des renoncements, dans un cycle qui ne prendra fin qu’avec la prise de pouvoir de l’islam.

Cette forme de lâcheté de la part des élites est particulièrement visible chez les journalistes, une lâcheté dont Charlie s’était encore rendu coupable avec cet autre dessin de couverture paru au moment de l’affaire des caricatures danoises, où l’on voit cette fois un Mahomet effondré dire en se cachant les yeux : "C’est dur, d’être aimé par des cons", avec cette légende : "Mahomet débordé par les intégristes". Débordé seulement par les intégristes ? Charlie pourtant aurait dû le savoir: le premier intégriste de l’islam, c’est Mahomet, les autres ne font que l’imiter !

En Occident, on s’est vite rendu compte qu’il ne suffisait pas de promulguer des lois, quand leurs applications provoquent à chaque fois la même réaction. C’est ainsi qu’en France, on ne peut que constater la prolifération des voiles intégraux, malgré l’interdiction. Les policiers n’osent plus intervenir, de peur de se retrouver convoqués au tribunal pour "islamophobie" ou pour "racisme". Parce que les bien-pensants ont décrété que l’islam, de ce point de vue, est une race ! Mais aussi parce qu’ils ont décidé qu’il ne fallait en aucun cas mettre en colère les musulmans et froisser leur légendaire sensibilité à fleur de peau. Des bien-pensants qui ignorent peut-être, ou font semblant d’ignorer, soit par complaisance soit par bêtise, que l’islam n’a qu’un seul objectif : les conquérir et les soumettre. Pas forcément les tuer, juste en faire des esclaves, de parfaits dhimmis, exercice auquel ils se préparent, à cause de leur manque de courage. Comme au temps d’al-Andalous.

L’Occident est entré dans cette logique de soumission à l’islam. Sinon, comment expliquer que des municipalités anticipent le mouvement qui les mènera vers la dhimmitude en supprimant les crèches de Noël (comme la commune de Mont-Royal au Québec) ou les sapins, que d’autres débaptisent leurs marchés de Noël pour les appeler "Marché d’Hiver (Mulhouse et Amiens)?

On se prépare comme on peut au statut d’esclave de l’islam... D’autres, des "idiots utiles" comme Jacques Attali, veulent débaptiser les fêtes religieuses françaises ... au nom de la fraternité ! C’est-à-dire, en clair, fraternité avec les musulmans, pour ne pas que "la Fille aînée de l’Église" n’ait à renier dans l’immédiat — mais dans l’immédiat seulement — son passé judéo-chrétien.

Trois "faits divers" de ces dernières années :
- Au Danemark, l’imam-inquisiteur Mohammed al-Khaled Samha a l’habitude dans ses prêches de s’en prendre aux juifs, qu’il assimile à des descendants de singes.
- En Norvège, le mollah Krekar, de son vrai nom Najmeddine Faraj Ahmad, fervent supporter de ben Laden, prédicateur et terroriste, a juste été placé en résidence surveillée dans un village isolé, malgré ses prêches d’incitation à la haine et ses menaces de mort à l’encontre de l’actuelle Premier ministre, madame Erna Solberg.
- En France, l’imam Mohammed Khattabi prononce un vrai réquisitoire contre les femmes, "êtres inférieurs égoïstes par nature", qui finiront en enfer, sauf celles qui reconnaissent la supériorité des hommes et se soumettent à eux. Un discours et des propos passibles de prison, mais que les médias jugent tout juste "incompatibles avec le discours républicain", sic. L’imam n’a d’ailleurs nullement été inquiété, il est vrai qu’il ne fait que réciter le texte coranique!

Ces trois constats ainsi que des milliers d’autres semblables à travers l’ensemble du monde occidental, pour rien. Rien n’y fait. La réponse demeure invariablement la même : "l’islam, ce n’est pas ça". Cette phrase semble ancrée pour toujours dans les crânes des dhimmis.

On ne peut régler un problème que si l’on a admis que ce problème existe et l’Occident ne veut pas l’admettre. Face à l’islam, l’Occident est dans le déni total de la réalité et refait l’erreur commise par Chamberlin et Daladier face à Hitler. Il n’a pas encore compris que l’islam lui a déclaré la guerre et déclaré la guerre aux valeurs véhiculées par les Lumières et que c'est une guerre pour la survie d’un seul modèle de société.

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