mercredi 19 juin 2013

Le djihad, c'est la conquête de territoires non-musulmans.



En guise de préambule, cette annotation de bas de page du coran, concernant le verset 2.190:

"Le djihad est la guerre sainte dans la voie d’Allah, à laquelle est consacrée toute la puissance disponible en termes de combattants et d’armement. Il lui est accordé une importance primordiale dans l’islam dont il constitue un des piliers. Par le jihad l’islam est établi, la parole d’Allah est élevée au-dessus de tout et l’islam est propagé. L’abandon du jihad mène à la destruction de l’islam, au ravalement des musulmans à un rang inférieur, à la perte de leur honneur, au vol de leur terre, leur pouvoir et leur autorité s’évanouissent. Le jihad est une tâche obligatoire pour chaque musulman. Celui qui tente de se défiler de cette obligation ou qui ne la remplit pas, meurt en hypocrite".


Argument irréfutable fourni par les exégètes musulmans, qui dément l'autre présentation du djihad, celui qui consisterait en "un effort de réflexion",  "effort dans l'accomplissement de la foi", "effort sur soi" et autres balivernes, juste ce qu'il faut pour endormir les nouveaux bobos montreuillois et les journaleux gôchisants. Les pauvres dhimmis ne savent pas qu'il y a plus de 150 versets du coran qui appellent à tuer les infidèles. Ce qui fait beaucoup pour une "religion" d'amour et de paix.

Une des  meilleures définitions qu'on puisse trouver au djihad est: "conquête de territoires non-musulmans".

C'est la définition donnée par certains oulémas, c'est celle de Sayyed Abdul Ala Maududi, un théologien pakistanais:

"L'islam est une foi révolutionnaire qui doit détruire tout gouvernement fait par l'homme . L'islam n'a pas l'intention d'établir une nation pour être meilleure que les autres, il ne veut qu'une seule nation. L'islam ne se soucie pas de savoir qui est propriétaire de la terre. L'objectif de l'Islam est de gouverner le monde entier et de soumettre l'ensemble de l'humanité à la foi de l'islam . Toute nation ou tout pouvoir qui se met en travers de cet objectif, l'islam va le combattre et le détruire. Afin d'atteindre ce but, l'islam peut utiliser tous les moyens disponibles,  tout comme il doit être utilisé par chaque musulman pour apporter la révolution dans le monde entier. C'est le djihad."


Depuis l'expédition de Nakhla, le pricipe de base du djihad est qu’il ne doit y avoir aucune règle à respecter dans le combat contre l'infidèle, que tous les moyens sont bons pour parvenir à sa soumission et que toute concession ne peut être qu’apparente ou provisoire et uniquement conditionnée par les circonstances .

Un autre principe de base est qu'il est du devoir de chaque musulman de répandre l'islam. En premier par la Daawa, le prosélytisme. Ensuite, si le non-croyant résiste, par le Djihad. 


C'est en application de ce principe que le djihad a quasiment anéanti la civilisation chrétienne du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, où il ne reste plus que quelques poches non islamisées, qui resistent comme elles peuvent et qui subissent les assauts continuels des fanatiques du coran, dans l'indifférence générale. 



Expansion de l'islam - VIIè - VIIIè siècles

Le djihad a également détruit le zoroastrisme des Perses, le djihad a tué 80 millions d'Hindous lors des expéditions menées dans l'Hindi Kouch. 
Dans cette région située à l'est de l'Afghanistan et au nord du Pakistan, des villes entières furent détruites, la quasi-totalité des temples hindous et bouddhistes furent saccagés et remplacés par des mosquées, les populations massacrées et des millions de femmes et d’enfants furent emmenés en esclavage. L’Assyrie, berceau de la civilisation, a été dévastée en 642. En Europe, du 14ème au 17ème siècle, les musulmans ont prélévé un cinquième des enfants de l'aristocratie chrétienne en Albanie, en Arménie, en Bulgarie, en Gèce et en Serbie. La population d’Euchaita, en Arménie, a été totalement massacrée. 



L'entrée de Mehmed II dans Constantinople
tableau de Jean-Joseph Benjamin-Constant

En Afrique, les conquêtes de l’Egypte, furent d’une atrocité sans précédent. L’évêque Jean de Nikiou raconte dans sa chronique: "Les Ismaélites vinrent, massacrèrent le chef de l'armée et tous ses compagnons et se rendirent maîtres de la ville. Quiconque se rendait auprès d'eux, fut massacré ; ils n'épargnèrent personne, ni vieillards, ni femmes, ni enfants". 

Les Amazighs et les juifs d'Afrique du Nord n'échappèrent ni aux massacres, ni aux déportations et à l'esclavage de leurs femmes et de leurs enfants. Des enfants qui serviront de chair à canon lors de la conquête de l'Espagne. Là aussi, les estimations sont effarentes: 120 millions d'Africains ont été tués par les musulmans, dont 60 millions de chrétiens Amazighs, durant les 14 siècles de présence de l'islam sur ce continent. 

En Afrique noire, "des millions d'Africains furent razziés, massacrés ou capturés, castrés et déportés vers le monde arabo-musulman. Cela dans des conditions inhumaines, par caravanes à travers le Sahara ou par mer, à partir des comptoirs à chair humaine de l’Afrique orientale. [...] dans certaines régions d’Afrique, après leur passage [des négriers arabo-musulmans], il ne subsistait guère plus de 1% de la population". 


Enfants esclaves sur un navire négrier arabe intercepté par la marine royale britannique, 1869.



Le djihad contre les chrétiens a commencé juste après 622, date de l'hégire (la fuite de Mahomet du Caire vers Médine). Il a coûté à la chrétienté la moitié de sa population. 




Le djihad a été la plus grande force de destruction qu'ait connu l'humanité. Depuis le jour où le gourou Mahomet a eu sa première "révélation" dans la grotte de Hira, l'islam n'a pas connu un seul jour de paix. Et la persécution des juifs et des chrétiens, partout où l'islam est dominant, continue à ce jour. 
Aujourd'hui encore, certains musulmans déclarent que tant que les non-musulmans n'accepteront pas l'islam, ils ne connaîtront jamais la paix", ce qui est en total accord avec les sourates de leur coran:
"Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'association et que la 
religion soit entièrement à Allah seul. S'ils cessent, donc plus d'hostilités, sauf 
contre les injustes" (2.193 et 8.39/40).


Je laisse la conclusion à Hélios d'Alexandrie: 
La violence islamique se distingue nettement des autres violences religieuses par le fait qu’elle ne peut être dissociée de la divinité qui l’ordonne, qui la sacralise et qui en fait la voie la plus sûre du salut. Le jihad est indissociable de la foi en Allah, la terreur est son instrument de conquête privilégié. Le musulman qui s’engage dans le jihad doit tout faire pour instiller la terreur dans le cœur du non-musulman, c’est par la terreur que l’islam conquiert et se répand.
Les musulmans d’aujourd’hui sont les descendants de ceux qui jadis ont cédé à la terreur islamique, ils ont embrassé la religion des envahisseurs pour sauver leur vie et épargner à leurs proches l’horreur de l’esclavage. Quelques générations plus tard les vaincus se sont mués en clones de leurs vainqueurs, et ils ont à leur tour asservi d’autres peuples de la même façon que leurs pères ont été asservis. L’arbre de la terreur et de la tyrannie a été planté il y a quatorze siècles, depuis, l’humanité n’a cessé de récolter ses fruits empoisonnés. Les musulmans sont prisonniers du coran et de la violence dont il est rempli ; ils ne peuvent embrasser sincèrement la paix, la tolérance et le bon voisinage sans renier, en tout ou en partie, leur croyance; s’ils lui restent fidèles, deux choix s’offrent à eux : se soumettre en silence aux  extrémistes ou se joindre résolument à eux.


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